Sillonnant en ce début avril l’Europe de tous les côtés, j’ai commencé par le bout qui risque de nous quitter : le Royaume-Uni.
Je vous entretiendrai plus tard des Haitian Studies qui m’ont amenée à Newcastle, pour le moment un post très frenchie à propos de 3 jours au bord de la Tyne river.
Newcastle n’est pas franchement le coin le plus touristique des îles britanniques. D’ailleurs pas moyen de trouver un magnet pour les potes ou même une écharpe de foot : le fan shop de Saint James Park fermait trop tôt.
Quand on a finit d’enjamber les nombreux homeless qui bravent le vent et la pluie dans des duvets nuit et jour (merci Maggie, Tory Blair et cie, après faut pas s’étonner que la région ait massivement voté Brexit) la ville ne manque pas de charme. Au centre une grande colonne avec le héros local Charles Grey que vous rencontrez tous les matins e Earl Grey, un style classique au centre ville, de la brique ailleurs, les quais de la Tyne rénovés sans industrie mais avec des points magnifiques, une université ancienne et dans de très beaux locaux.
Mais aussi : l’Angleterre populaire avec le stade en plein centre, des Fish and chips et surtout des pubs où la bière pas chère coule à flot. Vendredi soir c’est le début de weekend : malgré le froid le type en manche de chemise, les filles en mini jupe étaient entre comptoir et trottoir célébrant la drinking culture britannique et prolo à la fois.
Je n’ai pas visité les rares musées, j’ai plutôt fréquenté deux monuments anglais : l’université et le pub.