Hier donc, visite de Porto, de ses caves, rencontre avec des charmants Siciliens au passage, praia encore, visite du couvent Sao Francisco dégoulinant de dorures baroques, dégustation de vin a la Bolsa, bacalhau et vinho verde ensuite dans une churrasqueira. Bref, on a été bonnes une fois encore, pas comme vous qui n'avez pas trouvé la réponse à la question du jeu-concours. Certes, Mimi, ils aiment le futebol ici, meme que il y a quatre quotidiens spécialisés, mais pas que. Juste un indice : c'est de l'actualité internationale mais sur une terre nationale il y a 34 ans de celà.
De puis tout a l'heure nous sommes à Coimbra, la cité étudiante (pour la description voir article dans le voyage de mars dernier). On a pris le comboio et nous visitons sous le soleil encore avant de repartir en fin d'après-midi pour Lisboa et voir ou revoir Jaime alias guapeton (Emilie doit acheter des lunettes selon l'avis d'un certain médecin) et son frangin.
Je rappelle que Lisbonne a été, comme Istanbul, le centre du monde au XVIe siècle, mais bientot vous aurez un article sur David Ricardo, le capitalisme et la mondialisation. Oui le blog nadoch est toujours là pour vous cultiver.
Bon, alors, ça va être moins historique, et intello, puisque je suis un ventre sur pattes. La cuisine portugaise, voilà un sujet qui m'intéresse. Comme son homologue espagnol, présence de charcutaille, de fromage, mais aussi de choses inédites, telles que le paõ de mais com chouriçou, du bacalhau à la mode de Braga (genre aioli sans aioli) qui me fait bien rire étant donné que braga en espagnol signifie "culotte"!! Bref une blague moisie de linguiste débile!
Comme Nadine l'a dit nous avons joué les "portugaises ensablées" sur la praia, et ce par deux fois et nous avons évité la marée montante...